Le Chief Happiness Officer,
symptôme d’un besoin de smile-out en entreprise

Les origines du métier de Responsable du Bonheur

Le métier de Responsable du Bonheur (Chief Happiness Officer) fait son apparition aux États-Unis au début des années 2000 chez Google.

C’est Chade-Meng Tan, un ingénieur ayant pris des parts dans l’entreprise en 1999, qui en est l’auteur. Bien qu’il devienne rapidement millionnaire, ce visionnaire accorde une importance particulière au bonheur des employés. Ainsi, il décide de profiter des 20 % du temps dédié à ses projets personnels (le fameux « 20 % time » de Google) pour se pencher sur les thèmes de la neuroplasticité et de l’intelligence émotionnelle.

Ses travaux donnent naissance à un programme de développement personnel visant à se sentir mieux et à augmenter sa performance, que ce soit sur un plan personnel ou professionnel. C’est ainsi que le concept de CHO est né.

La médiatisation de Chade-Meng Tan permet de répandre et faire connaître les principes fondamentaux qu’il a identifiés pour augmenter le bien-être des employés et par conséquent leur efficacité.

Photo décorative d'une équipe en harmonie

Le rôle du Chief Hapiness Officer

Photo de présentation de l'aménagement de mobilier de bureau à Nîmes

Figure emblématique du bien-être au travail, le Responsable du Bonheur est donc en charge de la mise en place d’actions concrètes visant à améliorer le bien-être des salariés ainsi que les conditions de vie et de travail.

À l’écoute des employés, il doit placer leur bonheur et leur satisfaction au centre des préoccupations. Le résultat est gagnant-gagnant : si le salarié est plus heureux, l’entreprise profite de l’amélioration de ses résultats.

Le métier de Chief Happiness Officer est donc étroitement lié aux Ressources Humaines.
En termes de compétences, le CHO doit faire preuve de :
Empathie : sa fonction nécessite la compréhension des besoins et de l’état d’esprit de ses équipes
Compétences relationnelles : il doit réussir à instaurer un dialogue et un climat de confiance avec l’ensemble des collaborateurs
Créativité : il doit pouvoir innover et créer sans cesse de nouvelles initiatives impactantes visant à améliorer le bien-être au travail
Talent de persuasion : il doit être en mesure de vendre ses idées et convaincre du bien-fondé de ses mesures, notamment auprès de la direction

Lien entre bien-être et productivité

C’est bien ce point qui pousse les entreprises à faire appel à Responsable du Bonheur au sein de leur organisation.

Il a été démontré que l’épanouissement au bureau, le développement des compétences et l’ambiance au travail sont des facteurs clés en matière de bien-être au bureau.

Véritable source de motivation au travail, le mise en place d’une politique bien-être a donc un impact non négligeable sur la productivité des employés.

La satisfaction des salariés influence également leur fidélité vis-à-vis d’une société. Que ce soit pour retenir les talents ou pour éviter le turn-out, les entreprises ont donc tout intérêt à soigner les conditions de vie et de travail au bureau.

Un employé heureux pourra également devenir ambassadeur d’une marque à travers son cercle de connaissances. Il pourra aussi promouvoir leur entreprise sur les réseaux sociaux (employee advocacy) grâce à son dynamisme ou encore grâce à son expertise métier.

Photo de l'équipe commerciale de HARMONY avec le sourire aux lèvres

Le smile-out : notre concept tourné vers l’avenir

Photo de présentation de la satisfaction de l'équipe d'Harmony

De nouveaux termes particulièrement anxiogènes liés au monde du travail ont fait leur apparition ces dernières années :
• Le burn-out ou l’épuisement professionnel d’un point de vue physique ou mental
• Le bore-out ou l’ennui chronique au travail
• Le brown-out ou la perte de sens dans son travail

Malgré la consonance négative de ces nouveaux facteurs de mal-être professionnel, leur existence permet de souligner l’intérêt que l’on porte aujourd’hui à ces affections professionnelles.

Il peut s’en suivre une série d’actions pour améliorer l’environnement de travail des salariés. Le Chief Happiness Officer prend tout son sens et la médiatisation de ce nouveau métier lance un signal positif : le bien-être au travail devient l’un des atouts principaux de l’entreprise et fait partie intégrante de sa culture.

Chez Harmony, nous avons développé la culture du smile-out : l’épanouissement au bureau devient l’une de nos priorités et offre des résultats gagnant-gagnant pour l’ensemble des collaborateurs et pour l’entreprise.